top of page
  • Facebook
  • Instagram
  • Youtube
Rechercher

Patrick Charlier, coordinateur de l'épreuve

  • Photo du rédacteur: Trial GP de France
    Trial GP de France
  • 10 avr.
  • 3 min de lecture

L'ex entraîneur de l'équipe de France occupe un rôle de coordinateur pour la manche française du championnat du Monde de moto trial. Photo Olivier Sanchez / Crystal Pictures Agency
L'ex entraîneur de l'équipe de France occupe un rôle de coordinateur pour la manche française du championnat du Monde de moto trial. Photo Olivier Sanchez / Crystal Pictures Agency

L'ancien pilote et entraîneur de l'équipe de France masculine de Trial Moto, sera aux manettes de cette unique manche française du championnat du monde qui se déroulera à Calvi, du 30 mai au 1er juin. C'est lui qui a validé le parcours suggéré par Antoine Allegrini, président du Trial Moto Club de Balagne et qui sera affiné par l'ancien champion espagnol Jordi Pascuet.


Après 2014 à l'Ile-Rousse, vous avez accepté d'être de l'organisation de Calvi ?

« Effectivement, je ne pouvais pas refuser un tel challenge à mon ami Antoine Allegrini qui est un ami et un grand passionné de Trial Moto, d'autant que j’étais déjà de l'aventure de 2014 à L’Ile-Rousse. »


Outre une brillante carrière de pilote, vous avez été l'entraîneur de l'équipe de France masculine de Trial Moto ?

« J'ai effectivement occupé cette fonction durant 5 ans. C'est une responsabilité qui demande beaucoup d'investissement avec des déplacements à travers le monde. En 2023, j'ai décidé de passer le relais et de laisser la place aux jeunes. »


Que faites vous aujourd'hui ?

« Je vis à Sancerre, près de Bourges et je suis à la tête d'une société en qualité de préparateur moto. »


Parlons de cette manche française du championnat du monde à Calvi

« C'est un beau challenge à relever pour lequel Antoine Allegrini s'est beaucoup investi autour de Bernard Delchevalerie et une équipe de dévoués. C'est une juste récompense à son engagement pour le Trial Moto. Pour Calvi, c'est aussi une bonne chose d'avoir donné son feu vert pour cet

événement planétaire très attendu des fans de sports mécaniques. »


Quel est votre rôle dans l'organisation de cette manche française à Calvi ?

« La première tâche a été de travailler sur les différentes zones suggérées par le président Allegrini. Ensuite il a fallu valider le parcours et les différents zones pour les pilotes, le public, suiveurs, commissaires de zone, pour la sécurité et autres. Cela fait plusieurs fois que je me déplace à Calvi pour tout mettre en place, à commencer par le nettoyage du site effectué dans le plus grand respect environnemental. À l'issue de la compétition le site sera à nouveau nettoyé. »


Quelle place les motos électriques occuperont ?

« Comme pour les voitures, beaucoup d'usine se sont mises à l'électrique. Nous devrions avoir une dizaine de motos en TR2 au départ. Pour le public il y a les pour et les contres. Il faut dire que les sensations ne sont pas tout à fait les mêmes mais on s'y fait. Un championnat tout électrique avait été mis en place mais ça n'a pas eu le succès escompté. Il faut laisser faire le temps. »


Quand serez vous sur place ?

« Comme je l'ai déjà dit j'ai effectué plusieurs déplacement sur l'île. Je vais revenir au mois d'avril pour peaufiner le tout et ensuite au mois de mai pour le grand rendez-vous. »


Votre mot de la fin ?

« Tous les ingrédients sont réunis pour que cette manche française des championnats du monde de Trial Moto de Calvi soit encore plus belle que celle de l'Ile-Rousse en 2014. »


Propos recueillis par Gilbert Guizol

 
 
 

コメント


bottom of page